Prière à notre Dame de Lourdes
23 septembre 2015Bernadette Soubirous est devenue soeur Maria Bernarda, parler de la sœurs de Nevers, a 35 ans et est en train de mourir.
Elle qui a vu et parlé avec notre dame dans les regards de Lourdes vers le passé avec les yeux m’a étonné dans l’incrédulité face aux choses faites par le Seigneur en elle : la vie dure et misérable conduite à sa maison, a souffert la faim, les terribles injustices subies, les huées, les malentendus par ceux qui était plus proche. Regarde vers le passé et dit comment ses notes de cœur ; et cela devient rare et vraie prière...
“Pour la pauvreté de maman et papa
pour la destruction de l’usine, pour le vin de fatigue,
à utiliser pour les moutons galeux : je vous remercie, mon Dieu !
La bouche trop pour se nourrir qui j’étais ;
pour les enfants me semblait après, pour les moutons gardés, Merci !
Je remercie Dieu pour le procureur,
pour le Commissaire, pour les gendarmes,
pour les mots durs de Peyremale.
Pour les jours sont à venir, la Vierge Marie,
pour ceux qui ne viennent pas,
Là, je vais donner Merci au paradis.
Mais pour il tape a reçu, de moquerie, insultes,
pour ceux qui ont pris pour fou,
pour ceux qui ont pris à mentir,
pour ceux qui ont pris à concerné.
MERCI, MÈRE !
Pour l’orthographe que j’ai jamais su,
pour mémoire que j’ai jamais eu,
pour mon ignorance et ma bêtise, Merci !
Merci, Merci, parce que si nous avions été sur terre
une petite fille plus stupide que je suis, vous aurais pris celui-là !
Pour ma mère morte
pour la peine que j’ai eu quand mon père,
au lieu de tendant à ses armes de petit calibre de Bernadette,
J’ai appelé sœur Marie Bernarde : Merci, Jésus !
Merci pour avoir arrosé d’amertume
Ce cœur trop mou, que vous m’avez donné.
Pour mère Joséphine qu’elle proclame :
“Bon pour rien”.
Merci !
Pour l’enseignant de la mère, sa voix dure jibes,
ses injustices, ses ironies,
et pour le pain de l’humiliation, Merci !
Merci d’être celui dont la mère Teresa
Pourrait-on dire,”J’ai combiné cette assez”.
Merci pour que le privilège
de reproches, que mes sœurs a dit :
“Chance de ne pas être comme Bernadette
Merci, j’ai été Bernadette,
menacé de prison parce que je découvre,
Sainte Vierge !
Vu par les gens comme une bête rare ;
que Bernadette tellement petite que de voir qu’il a été dit :
“Est-ce pas ? !”.
Pour ce corps misérable que vous m’avez donné,
pour cette maladie de feu et de fumée,
pour ma viande pourri,
cariée dans mes os, ma sueur,
pour ma fièvre sourd et aigu, pour mes douleurs,
MERCI MON DIEU !
Pour cette âme que j’ai donné, dans le désert de sécheresse interne,
pour votre nuit et votre lueurs,
pour votre silence et votre foudre ;
pour tous,
pour vous, absent et présent, Merci ! Merci Jésus !.”
(Testament spirituel)